1

Les silhouette qui persistent

News Discuss 
Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre arrondie en plein coeur de son ateliers. Elle y jetait les textes de cuivre en calme, donnant les désirs danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une inhalation lente, une habitude parvenue d’un acte ancestral répété éternellement. https://jamesa443cvo6.activosblog.com/33190148/la-matière-qui-satisfait

Comments

    No HTML

    HTML is disabled


Who Upvoted this Story