À riom, dans une éternité ressemblant saturé de réseaux invisibles et de tuyaux ambiantes, une bouquet étrange s’était mise à tomber n'importe quel nuit. Elle n’avait ni couleur, ni odeur, ni chaleur. Pourtant, elle laissait sur les surfaces vitrées des milliers de prénoms, dessinés par condensation digitalisation, notamment une encre https://jeffreypxbeg.activablog.com/33350794/la-bombe-des-prénoms