Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son accoutumance, attendait que l’obsidienne traite à neuf. La gemme noire semblait absorber la luminosité de lune, vibrer sous la pression du vent, et souvent, sans prévenir, elle résonnait de cette voix https://lauriana34667.tribunablog.com/les-traces-effacées-48264446