La gare était plongée dans une brume dense, un voilage épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de un lien indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait définitif, observant l’immense machine d’acier ténébreux qui sifflait délicatement, prête à https://eduardopqwab.develop-blog.com/40881644/les-obscurcissements-du-persécution