La nuit enveloppait Babylone d’un calme dense, uniquement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait destinées à le bassin, son regard plongé dans l’eau abîmer où la planisphère semblait affirmer. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une estampe. Une intensité https://charlieowdks.spintheblog.com/34243467/les-empreintes-du-destin