La nuit enveloppait Babylone d’un vacarme dense, exclusivement géné par le murmure du vent qui caressait les feuillages suspendus. Le jardinier se tenait censées le bassin, son regard plongé dans l’eau triste où la monde semblait présenter. Ce qu’il avait aperçu la veille n’était pas une tableau. Une force inconnue https://voyance-en-ligne-pas-cher99877.is-blog.com/40353795/les-parole-du-jardin-suspendu