Le matin trouva Lauriana recroquevillée autour des braises presque éteintes, encore enveloppée dans la thermométrie ténue d’un gerbe mourant. Elle se redressa lentement, chassant de ses paupières la ennui nocturne et caressa d’un fait protecteur la couverture du concède ancien qu’elle avait glissé par-dessous sa minois pour l'obscurité. Le ciel, https://raymondrrmga.loginblogin.com/40268700/lauriana-voyance